Ninon, véritable férue d’art depuis toujours au parcours professionnel passionnant, nous confie quelques détails sur ce qui l’a amené à devenir chef d’entreprise.
FAISONS LES PRESENTATIONS
Qui es-tu ? D’où viens-tu ?
Je me nomme Ninon MANARANCHEMICHEL, et je suis originaire de Riom, ville d’art et d’histoire, à côté de Clermont-Ferrand, en Auvergne.
Où vis-tu aujourd’hui ?
Dans un village de 400 habitants dénommé Prompsat, proche de ChâtelGuyon, une ville thermale auvergnate. Je suis entourée de vignes et de chevaux. En immersion totale dans la nature.
Quel est ton métier ?
Je suis gestionnaire de patrimoine.
TOI ET CLERMONT
Ton année de promotion ?
2007.
Comment es-tu arrivé à Clermont-Ferrand en Gestion de Patrimoine ?
J’ai commencé ma vie professionnelle dans le marché de l’art, par un Master 2 de Droit et Fiscalité du Marché de l’Art à Lyon, qui m’a conduit tout d’abord à Saint-Pétersbourg, au Consulat de France pour organiser les manifestations culturelles. Puis à la Galerie Maeght à Paris VII, pour finir à Neuilly-sur-Seine comme courtière d’assurances en œuvres d’art chez Richard de la Baume Assurances.
Le marché de l’art étant un milieu de réseau, très fermé, un courtier m’avait conseillé à l’époque d’élargir mes compétences, et étant originaire de Clermont-Ferrand, j’ai choisi de postuler au Master 2 Gestion de Patrimoine
Ton parcours professionnel : raconte-nous !
Dès la sortie du diplôme j’ai été embauchée par AFORGE Finance où j’ai fait mes armes de Family Officer ; très belle maison mais qui fût malheureusement touchée de plein fouet par l’affaire Madoff.
Cela m’a conduit, en 2009, à revenir en Auvergne. Le contexte économique et la géographie ne me permettait pas de retrouver la même carrière. Il a fallu faire des concessions, je suis donc rentrée à la Caisse d’Epargne où j’ai découvert des équipes extraordinaires.
Puis les rencontres m’ont permis de renouer contact avec Olivier ROZENFELD et de travailler avec lui sur une structure dénommée ASALIA, cabinet indépendant de gestion de patrimoine, très orienté sur le conseil juridique et fiscal.
J’ai ensuite eu une carrière de quelques années au sein du Groupe Notarial UNOFI qui m’a permis de mieux appréhender le monde du notariat et de me faire un réseau de prescripteurs intéressants.
Aujourd’hui, j’ai décidé d’ouvrir mon propre cabinet de Gestion de patrimoine, AMANTHÉE PATRIMOINE et de voler de mes propres ailes.
En trois mots (et seulement trois), comment décrirais-tu ton rôle ?
Proximité, Expertise, Engagement.
Quelle est ta spécialité aujourd’hui ? (Un sujet qui te passionne).
Le marché de l’art bien sûr. Cela faisait très longtemps que je souhaitais offrir ce type de compétences.
Peux-tu nous en dire plus ?
Je suis certaine que la diversification est le maître mot de tout investissement et qu’il n’y a pas un investissement mais des investissements.
Travailler sur l’investissement plaisir est très intéressant, il reste un marché complexe où le conseil est essentiel.
Si tu pouvais être ministre de l’Economie et des finances une journée, que ferais-tu ?
ministre Finances
de une
ministre Finances
de une
J’essaierai de trouver un moyen (peut-être pas en une journée) de faire reconnaître notre profession comme une activité réglementée dont l’exercice nécessite de posséder un diplôme ou une qualification spécifique comme peuvent l’être les notaires ou les avocats.
Quel est selon toi le plus grand défi de la Gestion de patrimoine de demain ?
FAISONS LES PRESENTATIONS
Qui es-tu ? D’où viens-tu ?
Je me nomme Ninon MANARANCHEMICHEL, et je suis originaire de Riom, ville d’art et d’histoire, à côté de Clermont-Ferrand, en Auvergne.
Où vis-tu aujourd’hui ?
Dans un village de 400 habitants dénommé Prompsat, proche de ChâtelGuyon, une ville thermale auvergnate. Je suis entourée de vignes et de chevaux. En immersion totale dans la nature.
Quel est ton métier ?
Je suis gestionnaire de patrimoine.
TOI ET CLERMONT
Ton année de promotion ?
2007.
Comment es-tu arrivé à Clermont-Ferrand en Gestion de Patrimoine ?
J’ai commencé ma vie professionnelle dans le marché de l’art, par un Master 2 de Droit et Fiscalité du Marché de l’Art à Lyon, qui m’a conduit tout d’abord à Saint-Pétersbourg, au Consulat de France pour organiser les manifestations culturelles. Puis à la Galerie Maeght à Paris VII, pour finir à Neuilly-sur-Seine comme courtière d’assurances en œuvres d’art chez Richard de la Baume Assurances.
Le marché de l’art étant un milieu de réseau, très fermé, un courtier m’avait conseillé à l’époque d’élargir mes compétences, et étant originaire de Clermont-Ferrand, j’ai choisi de postuler au Master 2 Gestion de Patrimoine.
Le paiement en honoraires et la transparence. Il conviendra de trouver de nouveaux moyens de créer du récurrent en matière de rémunération.